Le syndrôme du coeur brisé est donc réel et a été prouvé par une étude.

On a 21% de chance de faire un infarctus du myocarde si sa moitié ou un de ses enfants ou des très proches décède.

Cette étude a portée sur 2000 patients hospitalisés pour des soucis cardiaques et sur 5 ans.


Il y a 6 fois plus de risques d'avoir un soucis cardiaque pendant la première semaine suivant la mauvaise nouvelle,
puis le risque reste maxima dans le premier mois et le risque décroit avec le temps.

En fait il y a une confusion par ces personnes entre le stress qu'ils ont subit (la boule au ventre d'avoir perdu un être très cher) et le syndrôme de l'infactus du myocarde.

Cette confusion amène souvent le patient à retarder son hospitalisation, ce qui peut lui être fatal.

Donc oui, on peut mourrir d'un coeur brisé.

 

Source: Journal of the American Heart Association, du lundi 9 janvier 2012

 


article écrit par Gildas Ribot.

Journal of the American Heart Association